Découvrir la pêche, c’est explorer, été comme hiver, les magnifiques lacs et rivières du Québec et découvrir l’incroyable diversité de poissons qui s’y cachent. De quoi attraper la piqûre!
Découvrir la pêche, c’est explorer, été comme hiver, les magnifiques lacs et rivières du Québec et découvrir l’incroyable diversité de poissons qui s’y cachent. De quoi attraper la piqûre!
La pêche, c’est beaucoup plus que du poisson. Expérimentez des activités d’initiation ou de mentorat, vivez des séjours en plein air ou découvrez un festival de film étonnant. Créez vos propres histoires de pêche. De tout pour tous les goûts, c’est un monde qui s’ouvre à vous!
Suivez nos conseils pour une aventure sécuritaire.
Des séjours d’initiation à la pêche à la mouche 100 % filles.
Isabelle, une enseignante et mère de 3 enfants, découvre le bonheur de la pêche.
Un père de famille qui n’aimait pas la pêche reçoit une invitation qu’il ne peut refuser.
Entre stéréotypes, histoires de pêche et fausses croyances, on peut penser que la pêche, ce n’est pas pour nous. Ici, on balaie vos idées préconçues.
En hiver, en tout cas, c’est vrai! Mais on dit plutôt que les poissons sont des animaux poïkilothermes. Cela veut dire que leur température corporelle varie en fonction de celle de leur milieu. Leur corps prend donc la température de l’eau qui les entoure, qu’elle soit froide ou chaude.
En hiver, les poissons se tiennent dans le fond, à une profondeur où l’eau ne gèle pas. Certains vivent au ralenti et leur rythme cardiaque diminue. D’autres sont plus actifs, mais ne viennent que rarement dans les eaux de surface, car l’eau y est trop froide et ils n’y trouvent pas de nourriture.
Pas besoin de partir 2 semaines et de prendre l’avion pour le nord pour profiter des plaisirs de la pêche! On peut faire un petit arrêt au fleuve et lancer sa ligne en revenant du bureau. Ou encore, pêcher à gué sur le bord d’un lac un samedi matin avec les enfants. C’est bien suffisant pour prendre un bon bol d’air et se vider la tête.
Côté matériel, pas besoin non plus de casser votre cochon! Oubliez les sonars, bateaux et gros moteurs à gaz! Tout ce qu’il faut pour aller pêcher, c’est une canne, quelques leurres et quelques hameçons et un permis de pêche. Ça tombe bien : le prix du permis général a justement été revu à la baisse ce printemps.
Et puis, si vous voulez essayer la pêche, mais que vous hésitez à acheter un permis pour la saison, voici un petit truc : durant la Fête de la pêche, tous les résidents du Québec peuvent pêcher sans permis. Mettez ces dates à votre agenda : les 7, 8 et 9 juin prochain, on célèbre les 20 ans de la Fête la pêche!
En fait, c’est un peu vrai, mais ce n’est pas ce que vous croyez. C’est sûr qu’il y a des « mononcles », à la pêche! À part ça, ce sont souvent eux (et les grands-papas!) qui initient les plus jeunes à la pêche. C’est en partie pour ça qu’ils seront de plus en plus, moins en moins seuls!
Au fond, il y a autant de types de pêcheurs que de truites dans les lacs du Québec : femmes, enfants, hommes, jeunes adultes, gangs de filles, gangs de gars, familles, en voulez-vous, en v’là! Voici un échantillon de certains spécimens connus et très diversifiés :
Lors des nuits de pleine lune, la luminosité est si importante que la faune se comporte parfois comme en plein jour. Les poissons se mettent soudainement à se remplir la panse en pleine nuit. Ce qui fait qu’au petit matin, lorsque vous lancerez votre ligne à l’eau, ils ne seront pas tellement en appétit…
Heureusement, l’inverse est aussi vrai. Lors des nouvelles lunes, lorsque les nuits sont très sombres, les poissons sont peu actifs. Au matin, votre appât sera beaucoup plus alléchant.
Découvrez d’autres mythes sur la pêche sur le site de la SÉPAQ.
Aujourd’hui, la vie va vite. Court d’un bord, court de l’autre, ce n’est pas mêlant, nos agendas sont remplis comme celui d’un président américain! Entre le travail, la partie de soccer du petit dernier, le rendez-vous chez le dentiste et les tâches ménagères, la pêche peut sembler bien compliquée à ajouter à l’horaire.
Pourtant! Plusieurs vous le diront. Non seulement la pêche vous permet de déconnecter et de prendre une pause de ce rythme effréné, mais c’est l’activité parfaite pour passer du temps de qualité avec vos proches.
Et puis, pas besoin de partir en excursion pour 10 jours pour aller à la pêche. Le Québec est parsemé de beaux territoires couverts de petits et grands cours d’eau pas très loin de chez vous. Sans compter les magnifiques parcs nationaux, réserves fauniques, zecs, et pourvoiries qui demandent juste à se faire découvrir le temps d’une journée.
Vous êtes tenté? Suivez le guide pratique pour les nouveaux adeptes de pêche à la journée, produit par la Sépaq.
On entend souvent des gens dire que la pêche ce n’est pas pour eux parce qu’ils vivent en ville. C’est vrai qu’en plein coeur du centre-ville de Montréal, à moins d’être un arnaqueur, il n’y a pas beaucoup de poissons à attraper…
Mais pour pêcher, pas besoin d’être entourée de grosse nature sauvage et de faire des kilomètres de route rocailleuse en VUS. La pêche urbaine, ça existe et c’est accessible! Il vous suffit d’un plan d’eau où il y a du poisson (la base!) et où la pêche est autorisée. Ajoutez à cela un accès pour y lancer votre ligne comme un quai municipal, une berge ou une descente et vous voilà fin prêt pour pêcher!
Un coup d’œil à la carte Allons pêcher vous convaincra!
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Au-delà de la truite, quelles espèces de poissons se cachent dans les plans d’eau du Québec? Lesquelles sont les plus accessibles pour les pêcheurs débutants? Découvrez ici où les pêcher et apprenez comment les reconnaître, les appâter ou les cuisiner.
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